Mais si vous en voulez davantage, allez donc faire un tour sur G+, voire FB.
2013, c’était l’année des Tabelots, déjà 1051 images d’un nouveau type,
comme vous n’en avez peut-être jamais vu…
Ni photo, ni peinture, mais c’est figuratif. Exemple :
Celui (celle…), qui est différent(e), enrichit l'humanité.
Plus nous sommes semblables, plus nous sommes inutilement nombreux, plus nous sommes
des doublons que l'on pourra supprimer aisément sans que cela soit gênant, moins notre existence
se justifie. Le conformisme, l'obéissance, la timidité font des masses faciles à exploiter, mais
gangrènent le progrès humain.
Le comble du statu quo et de l'immobilisme, c'est le retour à la forêt des singes…
C'est la différence qui fait progresser l'humanité, qui nous sort de la caverne, qui nous fait oser
l'impensable…
Oser l’impensable (roman) :
Imaginez qu’Einstein n’ait réalisé qu’une petite fraction de son potentiel et que tous les êtres
humains aient, chacun dans leur genre, le même potentiel qu’Einstein…
Pourquoi ne réalisent-ils pas ce potentiel ? Parce que tout est fait pour les maintenir enfermés,
dès leur plus jeune âge, dans des cages psychiques où ils resteront prisonniers jusqu’à ce que la mort
les délivre…
Si la science humaine ne représente qu’un tout petit millième de ce que l’on pourrait savoir de l’univers
qui nous entoure, nous nous croyons debouts sur une montagne, alors que nous piétinons une pauvre
taupinière…
Si l’on avait trouvé le moyen de révéler en chacun les pouvoirs dont il dispose… de réveiller sa part de
divinité… plus personne ne pourrait se cacher derrière les apparences.
Non, je plaisante… Cette prose-là dans un roman ? Vous liriez cela, vous ?
La fin du monde reste à venir
Les civilisations et les religions qui ont survécu ne se hasardent plus imprudemment à des prévisions
ridicules et c’est dommage…
L’humanité a évolué, depuis les cavernes.
Il appartient à chaque être humain de participer ou non à cette évolution.
De notre héritage, on peut tout conserver fidèlement… ou choisir de faire le tri.
Ceux qui conservent fidèlement l’héritage de leurs parents, de leurs ancêtres, transforment le monde
des humains en un bric-à-brac obscène et forcément anachronique, parce qu’heureusement, même
malgré eux, l’humanité évolue.
Nos connaissances sont un fatras encombré de vieilles erreurs qu’il faut apprendre à évacuer
pour améliorer l’humanité.
C’est le devoir de chaque être humain de participer à ce tri collectif des connaissances humaines.
Il appartient à chacun de choisir entre l’immobilisme stérile et le progrès humain.
Voulons-nous être des maillons entre un passé imparfait et un futur stéréotypé, ou préférons-nous devenir les arches
d’un pont qui mène vers un monde meilleur.
Meilleur ? Pourquoi le futur serait-il meilleur que le passé ? Parce que nous avons passé nos vies à l’améliorer,
à le dépoussiérer, à le nettoyer des sottises qui l’encombraient, à le faire avancer dans la bonne direction, à l’éloigner
de l’animalité primitive reptilienne qui nous colle aux semelles.
Prenez cette avidité absurde et cette accumulation nuisibles de richesses, après lesquelles tant de nos contemporains
courent ou dont ils nourrissent leur vie à rêver ! Comment ne pas penser qu’une amélioration de l’humanité permettrait
de nous épargner ces répugnantes habitudes destructrices ?
Rien n’est sûr au point de ne pas en douter.
Il n’y a pas de limite au devoir de douter. Les savoirs les plus sacrés sont aussi
ceux qui méritent le plus
d’être disséqués, mis en doute et, finalement, rejettés aux oubliettes de l’humanité primitive.
Il ne suffit pas d’aspirer à un monde plus humain. C’est à chacun d’entre nous d’y contribuer personnellement en s’opposant
à la pérennité des sottises.
Amen.
Août 2012, vacances à l’amer :
Le ciel et la mer ne seront plus jamais les mêmes…
